• Voilà qui devrait rassurer les vieux ;p

    Voilà qui devrais rassurer les vieux 


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  • Une jeune femme et sa fille marche dans la rue. Elles se dirigent vers une forêt et s'arrêtent dans une clairière. En son centre trône un chêne qui est sûrement présent depuis longtemps tant il est imposant. La mère s’assoit contre l'arbre et prend la petite dans ses bras.

     

    "_Maman, pourquoi tu pleures?

    _ Ce n'est rien ma princesse.

    _ Et maman, pourquoi on est là?

    _ Tu vois cet arbre ma puce? C'est ton papa qui l'a planté, c'était il y a longtemps. Un jour il m'a dit que tant que ce chêne tiendrais debout, notre amour grandirait un peu plus chaque jour.

    _ Alors pourquoi tu es triste? Il a menti?

    _ Papa ne ment jamais ma princesse.

    _ Il revient quand?

    _ Tu te souvient quand je t'ai dit qu'il devait partir? Et que peut être il ne reviendra pas?

    _ Quand il est aller au paradis secret des garçons?

    _ Oui. Et bien il est resté au front.

    _ Ah bon? Il nous aime plus?

    _ Si, bien sûr que si! Mais il à voulu aidé un ami et il s'est perdu.

    _ Alors il faut aller le chercher!

    _ On ne peut pas ma princesse, parce qu'on ne sait pas où il est..."

     

    ♦♦♦

     

    "_ Allye! Tu m'a manqué!

    _ Je suis désolée, j'aurais voulu venir plus tôt mais...

    _ Chut! Ne t'en fais pas je suis simplement heureuse de te voir.

    _ Tu as eu des nouvelles des médecins? Ils n'ont rien voulu me dire.

    _ Je sais, je voulais te l'annoncer moi-même.

    _ Tu me fais peur, qu'y a-t-il?

    _ Il faudra que tu sois forte...

    _ Maman... Je ne veux pas te perdre...

    _ Parce que tu vas devoir me supporter encore quelques années!"

     

    ♦♦♦

     

    Une vieille femme marche dans la rue. Elle se dirige vers une forêt et s'arrête dans une clairière. En son centre trône un chêne présent depuis longtemps. Elle se couche à son pied et ferme les yeux. La maladie a tuée sa fille, son mari a disparu au front. Cet vieille femme n'a plus rien a perdre.

     

    ♦♦♦

     

    "_ Bonjour, je suis mademoiselle Alwood, on m'a dit que ma mère a changer de chambre. Elle était en 208.

    _ Bonjour, alors, mme Alwood qui était en 208, c'est bien ça?

    _ Oui.

    _ Oh. Attendez 2 minute s'il vous plaît."

     

    La secrétaire entre dans une pièce voisine et en reviens avec un médecin.

     

    "_ Mlle Alwood?

    _ Oui?

    _ Je suis le docteur Schefferd.

    _ Oui je vous reconnais, vous êtes celui qui soigne ma mère.

    _ Écoutez, l'état de votre mère s'est aggravé. Elle a été prise d'une forte fièvre dans la nuit et elle est sortie de l’hôpital. Nous la cherchons en ce moment même."
    La violence du choc et la tristesse plongent la jeune fille dans un coma profond.

     

    ♦♦♦


    Un vieil homme marche dans la rue. Il se dirige vers une forêt et s'arrête dans une clairière. En son centre trône un chêne qu'il a planté de ses mains. Il cherche depuis bien trop longtemps celles qu'il aime. Il se couche a son coté et ferme les yeux. Ce vieil homme n'a plus rien à perdre. Une stèle au pied de l'arbre lui a appris tout ce qu'il voulais savoir.

     

    Aux ALWOOD,
    à cette famille déchirée par la guerre, la maladie et la tristesse.
    à cette famille qui a perdu le combat de la vie et du bonheur.
    Que leur souvenir reste à jamais dans nos cœurs, afin que l'on ne puisse oublier la rareté et la pureté de la chance qui nous à été donné d'avoir.

     


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  • Bon, pour faire court, j'écrit un peu, donc j'ai décidé de publier ici et ce que je fait, alors n'hésiter pas à me dire ce que vous en penser ;)

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    Si non, vous pouvez toujours parcourir cette page, où vous trouverez de l'humour, des anecdotes, et un peu de ma vie ;)

     

     

    Je tiens à préciser qu'aucune image n'est de ma fabrication, toutes sont trouvées sur internet, cependant, elles sont toutes plus ou moins modifiées et tous les textes (citations misent à part), sont de ma fabrication. Je vous déconseil donc d'éssayer le plagiat. A vos risques et périls...


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  • Prologue

     

     

    Le conseil s'était rassemblé autour d'une table aussi ronde que la tour dans laquelle elle était située. Derrière la table, on pouvait apercevoir, au travers d'une seule mais immense fenêtre, un village. Comme un joyau, il était délicatement posé sur son écrin verdoyant dans le creux d'une montagne, le bijou était baigné de la lueur orangée que seule l'aurore sait imaginer.

    Les membres du conseil paraissaient très agités comme si un événement inattendu s' était soudainement produit. Tous parlaient très vite et très bas, à croire qu'ils craignaient d'être entendus, pourtant l'habitation la plus proche se trouvais à des kilomètre de là, dans le petit village qu'on voyait au loin.

    Puis, celui qui paraissait dirigé l'assemblée interrompu les bavardages :

     

    « _ Chers conseillés, l'heure est grave, le peuple du Feu a conquis les Airains et notre Roi est souffrant depuis le meurtre de sa femme. Cependant, nous pouvons a présent être certain de la prochaine cible des Feufolets, car, si son but est, comme nous le pressentons, de contrôler la Grande Terre du Menez~Holm alors, nous, les Terraë, sommes sur son chemin. Nous devons donc, dès à présent, prendre deux décisions importantes qui définirons de notre sort à tous. »

     

    Le Grand Conseillé avait parlé de sa voie forte et claire, et il était, à l'évidence, un homme très respecté malgré son âge, en effet, une grande barbe blanche témoignais sa vieillesse. De plus, ses cheveux, qui avaient dû être d'un bleu vif il fût un temps, étaient à présent gris bleutés, ses yeux, d'un bleu profond, n'exprimaient plus que la sagesse que seul le temps peut enseigner.

     

    « _ Deux décisions ?! »

     

    Celui qui l'avait interrompu était un jeune homme d'environ 17 ans, il avait les yeux aussi jaune que ses cheveux étaient blond et, malgré son jeune âge, il avait le regard de ceux qui savent et sont sûr d'eux.

     

    « _ Oui mon jeune ami, au regard que lui lança le jeune homme, on devinait aisément qu'il n'aimait pas sa façon de l'appeler. Nous devons, en premier lieu décider de savoir si nous allons, oui ou non, nous allier avec le peuple de l'Eau afin de pouvoir combattre équitablement les Feufolets, car je ne crois pas inutile de rappeler que le peuple du Feu à réduit en esclavage tous les guerriers Airains ce qui agrandit considérablement son armée déjà puissante.

    Mais il nous faut également, j'en ai bien peur, de décider du sort de l'héritière car, si elle revient, c'est prendre le risque de la perdre mais c'est également la seule capable de faire régner la paix à nouveau.

    _ Dans ce cas, la question ne se pose pas ! Si nous ne nous allions pas aux Aqua, nous sommes tous mort et si nous ne faisons pas revenir la princesse, en supposant que l'on ai créé un alliance auparavant, cela signifie un royaume en guerre jusqu'à ce que mort s'en suive et avec toutes les pertes que cause une guerre.

    _ Je pense que le gosse à raison. »

     

    Le regard assassin que lui jeta le gosse en question en disait long sur ce qu'il pensait de la jeune femme qui avait parlé. Elle avait des cheveux orange et des yeux de la même couleur, ainsi que l'air autoritaire de ceux qui dirige une armée et le regard d'acier des guerrier. Sa voie était celle de ceux qui parle peu mais dont leur avis est toujours écouté avec attention.

     

    Les Conseillés passèrent au vote, la décision fût prise : une alliance allait voir le jour et l'héritière reviendrait à Menez~Holm.

     


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  • Résumé

     

     

    Alana Azilis est une jeune fille comme les autres, enfin, persque... Elle vient d'un monde parallèle au notre, et en est même l'Héritière. Mais Menez~Holm, son monde natal, est en guerre.

    Une folle aventure l'attend, car ce n'est pas si simple d'apprendre à diriger un royaume et encore moins de contrôler ses pouvoirs qui lui permettront de faire revenir la paix. Aidée de ses amis, elle fera des rencontres pour le moins étranges et affrontera bien des dangers pour unir les peuples.

     


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